samedi 19 janvier 2013

Passons aux livres aujourd’hui!


Je ne parlerais plus que des livres que j’aie aimés,  les autres aux ch…!

Le premier est un Harlan Coben,  titre= « À découvert »


J’avions lu le 4iem de couverture en diagonal, et un seul nom mais resté en mémoire BOLITAR! … Si je connais BOLITAR?  Myron Bolitar ? …Bien sûr j’ai déjà lu plusieurs de ses aventures, même une en livre audio. HAHAHA!!!
Mais là, bluffé je fus! Pas de Myron Bolitar dans cette histoire et toute sa ribambelle de copains. Non! Ici c’est Mickey Bolitar le neveu de l’autre, qui ne veut absolument pas que son oncle se mêle de ses affaire, sa petite amie a disparue à lui de la retrouver.
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Le Second est, pour moi, une surprise! 


Bien sûr je connaissais Claudine Douville … Mais pas comme romancière.

Claudine Douville naît à Montréal. Passionnée de sport dès sa jeunesse, elle suit notamment les retransmissions radio de hockey sur glace, et décide de s'orienter vers le journalisme sportif. Elle détient un baccalauréat en journalisme de l'Université Laval ainsi que des mineures en éducation physique et en théâtre. En 1980, elle est engagée par la chaîne TVSQ (Télévision des sports du Québec), qui devient par la suite RDS. Elle y travaille en tant que journaliste sportive et chroniqueuse depuis 19891,2.
Claudine Douville couvre de grands évènements sportifs, comme les Jeux olympiques. Elle commente également de nombreuses disciplines, dont le soccer, notamment des matchs de Coupe du monde et de Ligue des champions. En 2008, avec trois autres commentatrices, elle décrit un match de Ligue nationale de hockey.



Et Voilà que je la découvre romancière! J’avoue que j’ai emprunté ce livre par curiosité, me disant si je n’aime pas je ferme et bonjour.
Mais c’est loin d’être mauvais c’est presque du Clive Cussler … J’ai bien dis presque, assez quand même pour que je lise la suite en tout cas, Bravo Claudine!

Le Baudet





vendredi 18 janvier 2013

Le Piège!


Feu vert au suicide assisté en Colombie-Britannique 
La Cour suprême de la Colombie-Britannique a déclaré vendredi que la loi canadienne interdisant le suicide assisté est inconstitutionnelle.
La juge Lynne Smith suspend néanmoins son jugement pendant un an, le temps de laisser à la Chambre des communes le soin de rédiger une nouvelle loi qui prend en compte sa décision.
Mme Smith accorde dans sa décision de 395 pages une exemption à Gloria Taylor pour permettre à cette malade de 63 ans d'avoir recours à un suicide assisté, si elle le souhaite.
Cette Britanno-colombienne est atteinte d'une maladie neurodégénérative incurable.
Elle a demandé en novembre dernier à la Cour suprême de la Colombie-Britannique d'invalider la loi canadienne interdisant le suicide assisté afin de mourir dans la dignité.

Le Piège!
Comment ne pas être ému par le sort de cette femme (Gloria Taylor). Comment être en désaccord avec le fait du droit de mourir dans la dignité? Impossible!
Et pourtant, On donne le droit aux médecins et/ou à l’état de nous assassiné … Ce n’est pas rien! Soyons conscient que c’est une façon, que l’on donne à nos dirigeants, d’économiser sur les pensions de vieillesse, sur les soins de longue durée, sur le coût, toujours à la hausse, des médicaments au profit de ceux qui auront le moyens de se payer une mort normal.

LE VILLAGE GELÉ




Dans un petit hameau près d’une banquise nordique enneigée et  qui n’existait sur aucune carte, vivait Frio avec son grand-père Caramel. Une maisonnette toute froide. Dans la vallée juste à coté du hameau il y avait d’autres petites maisons où vivait les autres enfants avec leur parents. Coquettes ces maisons pleines de couleurs. Depuis qu’il était tout petit, il n’avait pas d’amis. Car la vallée était trop loin et  son grand-père qui était son seul amis lui lisait des histoires à chaque soir. Ce soir là Caramel le grand-père fermait le livre de contes car il s’aperçut que plus rien ne marchait. Les personnages de son livre de contes perdaient pied et tombèrent sur le sol.
Les petits cochons ne voulaient plus bâtir leur maison, ils préféraient demeurer à la ferme pour plus de sûreté, Blanche Neige n’avait jamais connu les nains dans la forêt menaçante. Car sa belle-mère l’aimait beaucoup trop pour l’empoisonner. Le loup n’avait plus d’appétit pour dévorer le petit chaperon rouge, encore moins la grand-mère. Tarzan ne jouait plus avec les animaux et le chat botté avait perdu ses bottes de sept-lieues. Le dragon menaçait de ne plus cracher de feu pour faire peur au chevalier; plus rien n’allait alors le grand-père décida de lui lire une histoire qu’il avait déjà écrite.
Caramel alla dans la salle à manger  chercher  son sac à dos,  pris ses feuilles qu’il avait transcrit la veille. Il s’installa dans le gros fauteuil rempli de neige molle et folle, tout près du foyer ou brûlait des flammes gelées de la cheminée. Sa barbe si blanche scintillante  où brillait des cristaux. Les joues rouges comme une pivoine. Il était confortable dans sa chemise de nuit blanche de rayons de lunes qui faisait penser aux fantômes C’est peut-être mieux ainsi il en avait marre de lire les mêmes histoires. Caramel offrit à son petit-fils de l’eau glacée pour se désaltérer et étancher leur soif juste un peu avant de rêver.
Frio attendait sagement pelotonné  sous son édredon bourré de petits glaçons ses pantoufles sur le tapis de flocons en étoiles. Son chat de glace sur les genoux, il baillait et fit sortir de sa bouche toute ronde des petits nuages de frimas, son nez était transi. L’aventure serait unique car son grand-père débuta ainsi;
Toc, toc, toc Ah! "Non" dit Frio je me demande bien qui vient à cette heure quelqu’un qui est perdu ça c’est certain. Caramel se levait lentement et alla ouvrir la porte de sa cabane. Oh! mais il n’y a personne quand tout à coup il regarda plus bas et il vit une tornade rousse avec des yeux vert pistache, des joues comme de grosses pommes toute rouges, un sourire comme une demie lune avec en plus des ailes mais toutes transparentes. Caramel la fit entrer et lui offrit un bout de son fauteuil.
Elle voleta jusqu’au fauteuil et se mit sur le dossier.  Frio surpris lui demanda son nom Elle répondit avec une voix  cristalline « je me nomme Prune » et toi demanda-t-elle au garçon Frio dit-il et voilà mon grand-père Caramel, "d’où vient tu ma belle" demanda Caramel. Elle répondit en se trémoussant comme le font toutes les petites filles après tout même si elle était une fée elle était aussi un fille. Je viens du jardin de minuit et je crois bien que je suis perdue dit-elle avec une tristesse dans la voix.
Mais dit Caramel je n’ai pas de jardin. Oui dit-elle" je sais mais il est bien caché et je ne le trouve plus". Tu vois un de tes  arbres frigorifiés dehors tout près de ta cabane contient  une porte qui conduit à ce jardin de minuit. Comme je suis très petite je marchais sur le chemin de galets juste près des arbres qui sont immenses pour moi, enfin c’est comme ça que j’ai perdu mon chemin et je ne sais plus lequel des arbres contient la porte du jardin. Voulez-vous m’aider?  Fantastique s’écria Frio ça sera une expédition lui qui ne sortait jamais. Caramel se gratta le menton et un festival de tout petits glaçons se répandirent tout autour de lui. Bon nous allons t’aider. La petite Prune dit « je vous récompenserais dès que j’aurais trouvé mon jardin » « Merci à tous les deux »  et elle se mit à trépigner d’impatience.
Caramel se leva de son immense fauteuil, le sol se mit à craquer pareille à de la glace sur un ruisseau à moitié gelé. Il  dit à Frio de venir, Prune vola jusqu’à l’épaule de Frio s’y installa pour le voyage. Le garçon était content il ne se passait jamais rien dans cette cabane. « Partons, trouvons l’arbre avec la porte du jardin de minuit »dit Le grand-père, "Je n’ai jamais vu d’arbre dans ce coin de notre banquise."
 Les trois amis partirent à la recherche de  l’arbre. En marchant le petit Frio examina en coin la petite fée, c’est vrai qu’elle avait l’air fragile et sa petite robe toute rose et douce on aurait dit des bisous déposés sur sa peau, ses ailes transparentes ne cessaient de bouger comme si elle était pour s’envoler. Chose étrange elle avait un grand cabas sous le bras. Le cabas était quasiment aussi grand qu’elle. Il faisait frisquet ce soir, chaque pas qu’ils faisaient étaient difficile.
Ils marchèrent longtemps, de loin il vit des arbres tel  des glaçons sortant de la neige. Prune tapait dans ses petites mains en retenant son grand cabas elle était visiblement heureuse de se retrouver mais c’était encore trop loin pour elle, Elle ne pourrait continuer seule pauvre petite elle avait si froid. Le grand-père enleva son cache-nez et le mit à Prune en lui disant « tiens met ça tu auras moins froid. » Elle le trouva très gentil.
Notre belle équipe arriva parmi une trentaine d’arbres. On ne voyait aucune trace qu’aurait laissé Prune en partant de son jardin de minuit, la neige avait effacé les pas. Donc il fallait chercher pour retrouver la porte. Un calme surnaturel enveloppait l’environnement. Caramel se pencha pour regarder de plus près, Frio avec la fée sur l’épaule cherchait tant bien que mal, il avait les yeux embrouillés tant il avait froid, Prune souffla doucement dans ses yeux pour le réchauffer. Prune tout à coup se raidit sur l’épaule de Frio, Elle cria « regarde juste en bas de cet arbre je crois que je vois la porte » au pied d’un arbre une minuscule porte qui menait au jardin de minuit. Sautant par terre elle ouvrit son cabas et pris une pierre de couleur bleue la passa sur la porte et la porte s’ouvrit……….
Cette porte est magique  « vous pouvez entrer si vous le voulez allez penchez-vous ».dit La petite de sa voix si chantante. Ce qu’ils ont vu était féerique,  un ruisseau courait avec tout pleins de petits poissons roses et verts, des oiseaux de toutes les couleurs chantait, les arbres frémissait dans le vent chaud, mais ce qu’il y avait de plus beau c’était le ciel d’un bleu si clair avec de tout petits nuages blanc qui ressemblait à des moutons. Dans les champs les animaux gambadaient, Caramel avait les larmes aux yeux et Frio enleva son gros chandail  Prune remit le cache nez à caramel. Pourquoi? Ton jardin s’appelle le jardin de  minuit? Demanda Frio à Prune. Tu vois cette pierre bleue, bien elle est magique, avant mon jardin était tout noir, je ne voyais rien, en plus je sentais des fantômes jusqu’à je trouve cette pierre sur le chemin de galets juste à coté des arbre, oui à la même place ou je me suis perdu. Prunes  les invita à prendre le thé aux framboises dans sa demeure. Si petite fut-elle, il y avait une table et deux chaises elle voletait en préparant le thé mit des biscuits sur l’assiette qu’elle déposait sur la table. Ça réchauffe dit Caramel et frio s’empiffra de biscuits et de thé à la framboise. Cette journée là Frio décréta que le thé et les biscuits à la framboise serait ses préférés.
Maintenant que tu as trouvé ta maisonnette nous allons partir dit sagement Caramel, « allez Frio dépêche toi je veux te raconter mon histoire avant le dodo. » Oh! la s’écria Prune "je veux quand même vous faire un cadeau" et elle prit son cabas, l’ouvrit. Et leur donna une graine de palmier qui feront pousser des arbres sans glaçon, une goutte d’eau salée pour allé se baigner et à la pêche, un souffle de vent comme un baiser d’ange qui vous caresse la peau, un morceau de soleil pour assécher toute la glace qui fondra sur leur banquise et qui réchaufferont leur cœur et des graines pour faire un petit potager et elle promit de venir les voir, les aider à s’habituer à tout cette chaleur. Caramel et Frio sont très heureux, ils partirent avec leurs cadeaux. Enfin Frio pourrait sortir avec la température clémente et allez dans le village voisin se faire des amis. Frio  se souviendra toujours de sa première amie Prune qui est venue le voir un soir où il faisait si froid.


Yvette 

jeudi 17 janvier 2013

Pour ... Enfin ... Commencer ce blog!

Pour ... Enfin ... Commencer ce blog!

Je ne voulais pas refaire la suite d'un blog que j'avais fermé. Mais trouvé de nouvelles choses à dire, à montrer.
Je parlerais moins des livres et des films que j'ai vu mais beaucoup plus des choses que je vis.  

Pour le moment.