dimanche 20 janvier 2013
samedi 19 janvier 2013
Passons aux livres aujourd’hui!
Je ne parlerais plus que des livres que j’aie aimés, les autres aux ch…!
Le premier est un Harlan Coben, titre= « À découvert »
J’avions lu le 4iem de couverture en diagonal, et un seul
nom mais resté en mémoire BOLITAR! … Si je connais BOLITAR? Myron Bolitar ? …Bien sûr j’ai déjà lu
plusieurs de ses aventures, même une en livre audio. HAHAHA!!!
Mais là, bluffé je fus! Pas de Myron Bolitar dans cette histoire
et toute sa ribambelle de copains. Non! Ici c’est Mickey Bolitar le neveu de l’autre,
qui ne veut absolument pas que son oncle se mêle de ses affaire, sa petite amie
a disparue à lui de la retrouver.
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Le Second est, pour moi, une surprise!
Bien sûr je connaissais Claudine Douville … Mais pas comme
romancière.
Claudine Douville naît à Montréal. Passionnée de sport dès sa
jeunesse, elle suit notamment les retransmissions radio de hockey sur glace, et
décide de s'orienter vers le journalisme sportif. Elle détient un baccalauréat
en journalisme de l'Université Laval ainsi que des mineures en éducation
physique et en théâtre. En 1980, elle est engagée par la chaîne TVSQ
(Télévision des sports du Québec), qui devient par la suite RDS. Elle y
travaille en tant que journaliste sportive et chroniqueuse depuis 19891,2.
Claudine Douville couvre de grands évènements sportifs, comme
les Jeux olympiques. Elle commente également de nombreuses disciplines, dont le
soccer, notamment des matchs de Coupe du monde et de Ligue des champions. En
2008, avec trois autres commentatrices, elle décrit un match de Ligue nationale
de hockey.
Et Voilà que je la découvre romancière! J’avoue que j’ai
emprunté ce livre par curiosité, me disant si je n’aime pas je ferme et bonjour.
Mais c’est loin d’être mauvais c’est presque du Clive
Cussler … J’ai bien dis presque, assez quand même pour que je lise la suite en
tout cas, Bravo Claudine!
Le Baudet
vendredi 18 janvier 2013
Le Piège!
Feu vert au suicide assisté en Colombie-Britannique
La Cour suprême de la Colombie-Britannique a déclaré
vendredi que la loi canadienne interdisant le suicide assisté
est inconstitutionnelle.
La juge Lynne Smith suspend néanmoins son jugement
pendant un an, le temps de laisser à la Chambre des communes le soin de rédiger
une nouvelle loi qui prend en compte sa décision.
Mme Smith accorde dans sa décision de 395 pages une
exemption à Gloria Taylor pour permettre à cette malade de 63 ans d'avoir
recours à un suicide assisté, si elle le souhaite.
Cette Britanno-colombienne est atteinte d'une maladie
neurodégénérative incurable.
Elle a demandé en novembre dernier à la Cour suprême
de la Colombie-Britannique d'invalider la loi canadienne interdisant le suicide
assisté afin de mourir dans la dignité.
Le Piège!
Comment ne pas être ému par le sort de cette femme (Gloria
Taylor). Comment être en désaccord avec le fait du droit de mourir dans la
dignité? Impossible!
Et pourtant, On donne le droit aux médecins et/ou à l’état
de nous assassiné … Ce n’est pas rien! Soyons conscient que c’est une façon,
que l’on donne à nos dirigeants, d’économiser sur les pensions de vieillesse,
sur les soins de longue durée, sur le coût, toujours à la hausse, des
médicaments au profit de ceux qui auront le moyens de se payer une mort normal.
LE VILLAGE GELÉ
Dans un petit hameau près d’une
banquise nordique enneigée et qui n’existait sur aucune carte, vivait
Frio avec son grand-père Caramel. Une maisonnette toute froide. Dans la vallée
juste à coté du hameau il y avait d’autres petites maisons où vivait les autres
enfants avec leur parents. Coquettes ces maisons pleines de couleurs. Depuis
qu’il était tout petit, il n’avait pas d’amis. Car la vallée était trop loin
et son grand-père qui était son seul amis lui lisait des histoires à chaque
soir. Ce soir là Caramel le grand-père fermait le livre de contes car il
s’aperçut que plus rien ne marchait. Les personnages de son livre de contes
perdaient pied et tombèrent sur le sol.
Les petits cochons ne voulaient plus bâtir
leur maison, ils préféraient demeurer à la ferme pour plus de sûreté, Blanche
Neige n’avait jamais connu les nains dans la forêt menaçante. Car sa belle-mère
l’aimait beaucoup trop pour l’empoisonner. Le loup n’avait plus d’appétit pour
dévorer le petit chaperon rouge, encore moins la grand-mère. Tarzan ne jouait
plus avec les animaux et le chat botté avait perdu ses bottes de sept-lieues.
Le dragon menaçait de ne plus cracher de feu pour faire peur au chevalier; plus
rien n’allait alors le grand-père décida de lui lire une histoire qu’il avait
déjà écrite.
Caramel alla dans la salle à manger
chercher son sac à dos, pris ses feuilles qu’il avait transcrit la
veille. Il s’installa dans le gros fauteuil rempli de neige molle et folle,
tout près du foyer ou brûlait des flammes gelées de la cheminée. Sa barbe si
blanche scintillante où brillait des cristaux. Les joues rouges comme une
pivoine. Il était confortable dans sa chemise de nuit blanche de rayons de
lunes qui faisait penser aux fantômes C’est peut-être mieux ainsi il en avait
marre de lire les mêmes histoires. Caramel offrit à son petit-fils de l’eau
glacée pour se désaltérer et étancher leur soif juste un peu avant de rêver.
Frio attendait sagement pelotonné sous
son édredon bourré de petits glaçons ses pantoufles sur le tapis de flocons en
étoiles. Son chat de glace sur les genoux, il baillait et fit sortir de sa
bouche toute ronde des petits nuages de frimas, son nez était transi.
L’aventure serait unique car son grand-père débuta ainsi;
Toc,
toc, toc Ah! "Non" dit Frio je me demande bien qui vient à
cette heure quelqu’un qui est perdu ça c’est certain. Caramel se levait
lentement et alla ouvrir la porte de sa cabane. Oh! mais il n’y a personne
quand tout à coup il regarda plus bas et il vit une tornade rousse avec des yeux
vert pistache, des joues comme de grosses pommes toute rouges, un sourire comme
une demie lune avec en plus des ailes mais toutes transparentes. Caramel la fit
entrer et lui offrit un bout de son fauteuil.
Elle voleta jusqu’au fauteuil et se mit sur le
dossier. Frio surpris lui demanda son nom Elle répondit avec une
voix cristalline « je me nomme Prune » et toi demanda-t-elle au
garçon Frio dit-il et voilà mon grand-père Caramel, "d’où vient tu ma
belle" demanda Caramel. Elle répondit en se trémoussant comme le font
toutes les petites filles après tout même si elle était une fée elle était
aussi un fille. Je viens du jardin de minuit et je crois bien que je suis
perdue dit-elle avec une tristesse dans la voix.
Mais dit Caramel je n’ai pas de jardin. Oui dit-elle"
je sais mais il est bien caché et je ne le trouve plus". Tu vois un de
tes arbres frigorifiés dehors tout près de ta cabane contient une
porte qui conduit à ce jardin de minuit. Comme je suis très petite je marchais
sur le chemin de galets juste près des arbres qui sont immenses pour moi, enfin
c’est comme ça que j’ai perdu mon chemin et je ne sais plus lequel des arbres
contient la porte du jardin. Voulez-vous m’aider? Fantastique s’écria
Frio ça sera une expédition lui qui ne sortait jamais. Caramel se gratta le
menton et un festival de tout petits glaçons se répandirent tout autour de lui.
Bon nous allons t’aider. La petite Prune dit « je vous récompenserais dès
que j’aurais trouvé mon jardin » « Merci à tous les deux » et
elle se mit à trépigner d’impatience.
Caramel se leva de son immense fauteuil, le
sol se mit à craquer pareille à de la glace sur un ruisseau à moitié gelé.
Il dit à Frio de venir, Prune vola jusqu’à l’épaule de Frio s’y installa
pour le voyage. Le garçon était content il ne se passait jamais rien dans cette
cabane. « Partons, trouvons l’arbre avec la porte du jardin de
minuit »dit Le grand-père, "Je n’ai jamais vu d’arbre dans ce coin de
notre banquise."
Les trois amis partirent à la recherche
de l’arbre. En marchant le petit Frio examina en coin la petite fée,
c’est vrai qu’elle avait l’air fragile et sa petite robe toute rose et douce on
aurait dit des bisous déposés sur sa peau, ses ailes transparentes ne cessaient
de bouger comme si elle était pour s’envoler. Chose étrange elle avait un grand
cabas sous le bras. Le cabas était quasiment aussi grand qu’elle. Il faisait
frisquet ce soir, chaque pas qu’ils faisaient étaient difficile.
Ils marchèrent longtemps, de loin il vit des
arbres tel des glaçons sortant de la neige. Prune tapait dans ses petites
mains en retenant son grand cabas elle était visiblement heureuse de se
retrouver mais c’était encore trop loin pour elle, Elle ne pourrait continuer
seule pauvre petite elle avait si froid. Le grand-père enleva son cache-nez et
le mit à Prune en lui disant « tiens met ça tu auras moins froid. »
Elle le trouva très gentil.
Notre belle équipe arriva parmi
une trentaine d’arbres. On ne voyait aucune trace qu’aurait laissé Prune en
partant de son jardin de minuit, la neige avait effacé les pas. Donc il fallait
chercher pour retrouver la porte. Un calme surnaturel enveloppait
l’environnement. Caramel se pencha pour regarder de plus près, Frio avec la fée
sur l’épaule cherchait tant bien que mal, il avait les yeux embrouillés tant il
avait froid, Prune souffla doucement dans ses yeux pour le réchauffer. Prune
tout à coup se raidit sur l’épaule de Frio, Elle cria « regarde juste en
bas de cet arbre je crois que je vois la porte » au pied d’un arbre une
minuscule porte qui menait au jardin de minuit. Sautant par terre elle ouvrit
son cabas et pris une pierre de couleur bleue la passa sur la porte et la porte
s’ouvrit……….
Cette porte est magique « vous
pouvez entrer si vous le voulez allez penchez-vous ».dit La petite de sa
voix si chantante. Ce qu’ils ont vu était féerique, un ruisseau courait
avec tout pleins de petits poissons roses et verts, des oiseaux de toutes les
couleurs chantait, les arbres frémissait dans le vent chaud, mais ce qu’il y
avait de plus beau c’était le ciel d’un bleu si clair avec de tout petits
nuages blanc qui ressemblait à des moutons. Dans les champs les animaux
gambadaient, Caramel avait les larmes aux yeux et Frio enleva son gros
chandail Prune remit le cache nez à caramel. Pourquoi? Ton jardin s’appelle
le jardin de minuit? Demanda Frio à Prune. Tu vois cette pierre bleue,
bien elle est magique, avant mon jardin était tout noir, je ne voyais rien, en
plus je sentais des fantômes jusqu’à je trouve cette pierre sur le chemin de
galets juste à coté des arbre, oui à la même place ou je me suis perdu.
Prunes les invita à prendre le thé aux framboises dans sa demeure. Si
petite fut-elle, il y avait une table et deux chaises elle voletait en
préparant le thé mit des biscuits sur l’assiette qu’elle déposait sur la table.
Ça réchauffe dit Caramel et frio s’empiffra de biscuits et de thé à la
framboise. Cette journée là Frio décréta que le thé et les biscuits à la
framboise serait ses préférés.
Maintenant que tu as trouvé ta maisonnette
nous allons partir dit sagement Caramel, « allez Frio dépêche toi je veux
te raconter mon histoire avant le dodo. » Oh! la s’écria Prune "je
veux quand même vous faire un cadeau" et elle prit son cabas, l’ouvrit. Et
leur donna une graine de palmier qui feront pousser des arbres sans glaçon, une
goutte d’eau salée pour allé se baigner et à la pêche, un souffle de vent comme
un baiser d’ange qui vous caresse la peau, un morceau de soleil pour assécher
toute la glace qui fondra sur leur banquise et qui réchaufferont leur cœur et
des graines pour faire un petit potager et elle promit de venir les voir, les
aider à s’habituer à tout cette chaleur. Caramel et Frio sont très heureux, ils
partirent avec leurs cadeaux. Enfin Frio pourrait sortir avec la température
clémente et allez dans le village voisin se faire des amis. Frio se
souviendra toujours de sa première amie Prune qui est venue le voir un soir où
il faisait si froid.
Yvette
jeudi 17 janvier 2013
Pour ... Enfin ... Commencer ce blog!
Pour ... Enfin ... Commencer ce blog!
Je ne voulais pas refaire la suite d'un blog que j'avais fermé. Mais trouvé de nouvelles choses à dire, à montrer.
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